COMPLET - Si les Invalides m'étaient contés

L'histoire des Invalides en récit et en musique avec Denis Podalydès, Olivier Baumont, Julien Chauvin et les solistes du Concert de la Loge

Horaires :

20h
lundi 4 mars 2024

Lieu de l'évenement :

Grand Salon

En écho au 350e anniversaire de l’accueil aux Invalides des premiers pensionnaires, vétérans et soldats blessés lors des campagnes militaires de Louis XIV, l’histoire des Invalides nous est contée par Olivier Baumont, Julien Chauvin et les solistes du Concert de la Loge en musique et au travers d’un florilège des plus beaux textes de Louis XIV et Madame de Maintenon, aux Abbés Maury et Orsini, en passant par Montesquieu, Voltaire et Chateaubriand, restitués par le talent incomparable du grand acteur qu’est Denis Podalydès.

 

Important

Accès unique pour les concerts de 20h par le 129 rue de Grenelle (Face au pont Alexandre III).
Il est nécessaire d'acheter ses billets à la billetterie sur place de 10h à 17h30 ou en ligne

 

Programme

Louis XIV

La fondation des Invalides

Édit du Roy pour l’établissement de l’Hôtel Royal des Invalides, donné au mois d’Avril 1774 

“Louis par la grâce de Dieu…”

Jean-Baptiste Lully (1632-1687) [attribué à] 

Quatre Trios pour deux dessus et basse continue (Recueil des Ballets et Simphonies de M. De Lully) :

Allemande – Sarabande – Menuet – Chaconne

 

Visite de Louis XIV en 1706, achèvement de la cathédrale Saint-Louis des Invalides

Mercure galant (septembre 1706) 

“Avant que d’entrer dans le détail…”

Michel Richard Delalande (1657-1726) 

Simphonie du Te Deum & Seconde Fanfare (Quatrième Suitte des Simphonies de M. De La Lande… pour le Souper de Louis XIV et Louis XV), deux dessus et basse continue

 

Portraits de militaires invalides et du personnel soignant 

  • Militaires reçus aux Invalides

“Du 2 juin 1695, Nicolas Moreau…”

François Couperin (1668-1733) 

Les Invalides ou gens estropiés (Les Fastes de la grande et ancienne Ménestrandise Onzième Ordre du Second Livre de Pièces de Clavecin, 1717), clavecin

 

  • Médecins et chirurgiens

Édit du Roy pour l’établissement de l’Hôtel Royal des Invalides, donné au mois d’Avril 1774

“Quant aux officiers, serviteurs…” 

Marin Marais (1656-1728) 

Tableau de l’Opération de la taille (Cinquième Livre de Pièces de Viole, 1725), récitant, basse de viole et basse continue

 

La Régence

Visite de Pierre le grand en 1717

Louis de Rouvroy, duc Saint-Simon (1675-1755), extrait des Mémoires, à l’année 1717

“Pierre Ier, czar de Moscovie s’est fait avec justice…”

Michel Corrette (1707-1795) 

« Bacchus, c’est toi que je chante » (Les Amusemens du Parnasse Livre II, 1750), clavecin

 

Louis XV

Montesquieu (1689-1755), extrait des Lettres persanes (Lettre 85), 1721 

“Je fus hier aux Invalides…”

Jean-François Dandrieu (1682-1738) 

Les Caractères de la guerre (Suite de Symphonies, 1718), deux dessus et basse continue :

Marche – Première Fanfare – Air gravement – Menuet – Marche – La Charge – Les Plaintes – La Victoire

 

Louis XVI

Louis-Sébastien Mercier (1740-1814) : « Hôtel des Invalides », extrait du Tableau de Paris (Tome VI, chapitre CCCCLXX, 1783) 

“L’établissement le plus juste d’un siècle de grandeur…”

André Grétry (1741-1813) 

« Richard ô mon Roi » (Richard cœur de lion, 1784), violon, violoncelle et clavecin

 

La Révolution

Jules Michelet (1798-1874) : extrait de l’Histoire de la Révolution française (1847-1853) 

“Le monde entier connaissait, haïssait la Bastille…”

François-Joseph Gossec (1734-1829) & Claude Balbastre (1724-1799) 

Marche des Marseillois, harmonisée par Gossec et variée par Claude Balbastre, deux violons, violoncelle et clavecin.

 

Le XIXe Siècle

Honoré de Balzac (1799-1850) : Le dôme des Invalides. Hallucination (1832) 

“Je pris par la rue de Babylone…”

Hyacinthe Jadin (1776-1800)

Allegretto non tropo (Trio opus I, n°1), deux violons et violoncelle

 

Distribution

  • Denis Podalydès, récitant
  • Olivier Baumont, clavecin et conception du programme
  • Les solistes du Concert de la Loge
    • Julien Chauvin, violon et direction
    • Tami Troman, violon
    • Atsushi Sakai, basse de viole et violoncelle
    • Marc Wolf, théorbe

Denis Podalydès

Denis Podalydès, grandit à Versailles avec son frère le réalisateur Bruno Podalydès. Après deux années de classe préparatoire littéraire au lycée Fénélon en compagnie d’Emmanuel Bourdieu, il rentre au cours Florent avant d’intégrer rapidement le Conservatoire national supérieur d’art dramatique. En 1989, il fait une première apparition au cinéma dans Xenia. Mais c’est grâce au film Versailles rive gauche réalisé par son frère en 1991, qu’il prend conscience de son potentiel comique. Il poursuit par la suite sa collaboration avec son frère dans Dieu seul me voit (Versailles-chantiers) en 1997 et Liberté-Oléron en 2001.

Entre temps, il multiplie les rôles secondaires dans des comédies. On le retrouve ainsi dans Le Journal du séducteur (1995) de Danièle Dubroux, Rien sur Robert (1999) de Pascal Bonitzer. Cette orientation ne l'empêche pas de se tourner vers des projets un peu plus dramatiques comme Comment je me suis disputé... (ma vie sexuelle) (1996) d'Arnaud Desplechin ou Jeanne et le garçon formidable (1997) de Jacques Martineau et Olivier Ducastel. Il fait même une petite apparition dans État des lieux (1994), le premier film de Jean-Francois Richet.

Il obtient par la suite des rôles plus importants. Dans La Mort du Chinois et Les Frères Sœur, il partage la vedette avec José Garcia. En 2000 et 2001, on le retrouve dans des films dramatiques d'une plus grande envergure comme La Chambre des officiers de François Dupeyron et Laissez-passer de Bertrand Tavernier. En 2001, Denis Podalydès tient le rôle principal de Candidature, le premier moyen métrage d'Emmanuel Bourdieu. En 2002, il est le mari ruiné et suicidaire de Karin Viard dans Embrassez qui vous voudrez, le nouveau film de Michel Blanc. Pour ce rôle, il est nommé au César du meilleur second rôle. L'année suivante, il incarne le reporter Rouletabille dans Le Mystère de la chambre jaune, de son frère Bruno Podalydès.

Denis Podalydès tourne ensuite dans le premier film de Valeria Bruni Tedeschi, Il est plus facile pour un chameau..., avant de partager l'affiche avec Emmanuelle Devos dans Bienvenue en Suisse. En 2005, fort du succès du Mystère de la chambre jaune, il reprend le rôle de Rouletabille dans Le Parfum de la dame en noir toujours sous la direction de son frère. Il s'éloigne ensuite de la comédie le temps de deux films plus graves, Les Âmes grises d'Yves Angelo, et Caché de Michael Haneke, pour mieux y revenir ensuite, devant les caméras de Valérie Lemercier dans Palais royal ! ou Marc Fitoussi pour La Vie d'artiste.

Après un bref détour par la case "superproduction internationale" avec le Da Vinci Code, Denis Podalydès poursuit cette alternance entre drame et comédie, qui le rend capable de passer du Temps des porte-plumes à Caos Calmo, ou de Coupable à Bancs publics (Versailles rive droite), troisième et dernier épisode de la "trilogie versaillaise" de son frère.

Parallèlement à son activité sur grand écran, il n’abandonne pas son premier amour : le théâtre. Sociétaire de la Comédie-Française depuis 2000, il a mis en scène et joué dans de nombreuses pièces (comiques ou tragiques). En 2006, sa mise en scène de Cyrano de Bergerac reçoit des critiques élogieuses et joue à guichets fermés durant 2 ans. La pièce remporte 6 Molières dont celui de la mise en scène pour l'acteur. Il poursuit avec Les Méfaits du tabac d'Anton Tchekhov, Lucrèce Borgia de Victor Hugo, Le Bourgeois gentilhomme de Molière, La Mort de Tintagiles de Maurice Maeterlinck, Les Fourberies de Scapin de Molière et Le Triomphe de l'amour de Marivaux.

En 2009, au cinéma, il apparaît dans La Journée de la jupe aux côtés d'Isabelle Adjani et dans la comédie Neuilly sa mère ! où il incarne un bourgeois coincé. Deux ans plus tard, il interprète le rôle le plus impliquant de sa carrière, celui de Nicolas Sarkozy, dans La Conquête de Xavier Durringer présenté à Cannes, hors compétition, puis continue dans le film polémique en prêtant ses traits au controversé Pierre-Emmanuel Vaugrenard dans Omar m'a tuer. Il ne s'éloigne pas très longtemps de Cannes et de son festival, puisqu'il y revient en 2012 avec deux films, Vous n'avez encore rien vu d'Alain Resnais et Adieu Berthe ou l'enterrement de mémé, qui marque sa huitième collaboration avec son frère Bruno Podalydès.

Privilégiant la comédie et la comédie dramatique, Denis Podalydès incarne des personnages plus ou moins centraux dans Du vent dans mes molletsLes Conquérants et Un village presque parfait. À noter sa prestation remarquable dans l'original Comme un avion de Bruno Podalydès, où il campe un quinquagénaire décidant de partir à l'aventure en kayak sur les rivières de France. L'acteur goûte également aux joies du thriller, comme en témoignent ses rôles dans L'Amour est un crime parfait et La Mécanique de l'ombre. Actif, il enchaîne avec Marie-FrancinePlaire, aimer et courir viteBécassineLes Grands Esprits et Neuilly sa mère, sa mère, où il reprend son personnage de Stanislas de Chazelle.

Le natif de Versailles entame les années 2020 de manière intense. Pour preuve, il retrouve une nouvelle fois son frère pour Les 2 Alfred et incarne le personnage principal de la très noire comédie Oranges sanguines et celui de Tromperie d'Arnaud Desplechin, un écrivain trompant sa femme avec Léa Seydoux.

 

Olivier Baumont

Considéré comme l’un des clavecinistes majeurs de sa génération, Olivier Baumont mène depuis plusieurs décennies une riche carrière d’interprète, de pédagogue et de chercheur. Curieux, passionné et érudit, si ses qualités de musicien sont très vite reconnues, son sens aigu de la communication et son bonheur d’être sur scène, comme de partager avec d’autres arts son goût pour les XVIIe et XVIIIe siècles, sont également saluées et font de lui un artiste aux multiples facettes, sollicité internationalement. Invité par les principaux festivals français et étrangers, Olivier Baumont se produit ainsi dans de nombreux pays : Allemagne, Autriche, Belgique, Biélorussie, Brésil, Canada, Croatie, Espagne, États-Unis, Grande-Bretagne, Hongrie, Italie, Japon, Pays-Bas, Portugal, République tchèque, Russie, Slovénie, Suisse, Turquie… Pour la Cité de la musique à Paris, il a initié un cycle de 20 concerts consacrés à l’intégrale des pièces pour clavecin de Bach. Il a participé en Juillet 2018 à l’intégrale monumentale des Sonates de Scarlatti pour le Festival de Radio-France Montpellier. Il va collaborer en octobre 2020 à l’intégrale des concerti pour clavecins de Bach dans la saison de Radio-France. Avec les comédiens Nicolas Vaude et Nicolas Marié, il a adapté Le Neveu de Rameau de Denis Diderot qui a triomphé à sa création en 2001 et 2002 au théâtre du Ranelagh, et dont le succès ne s’est pas démenti jusqu’à aujourd’hui, en tournée ou à Paris et devant des salles combles. Il vient de concevoir un spectacle musical sur Henriette d'Angleterre, Madame se meurt, avec Jeanne Zaepffel  soprano , Marcel Bozonnet – comédien et co-auteur et lui-même au clavecin.  La discographie d’Olivier Baumont, régulièrement saluée par la presse internationale, comprend une cinquantaine d’enregistrements. Parmi les réalisations les plus importantes, il convient de signaler une intégrale de l’œuvre pour clavecin de Jean-Philippe Rameau, pour Accord-Universal ; une intégrale François Couperin ainsi que des disques consacrés à Jean-Sébastien Bach, Georg Friedrich Haendel et Henry Purcell pour le prestigieux label français Erato ; plus récemment, un disque À Madame consacré à des musiques versaillaises rares, avec Julien Chauvin (violon), pour Aparté ; un disque consacré aux Apothéoses de François Couperin, avec Béatrice Martin (clavecin), pour NoMadMusic. Olivier Baumont a publié un livre sur François Couperin (Découvertes-Gallimard) et un livre sur Antonio Vivaldi (Gallimard Jeunesse) et un livre sur La musique à Versailles (Actes Sud / Établissement) qui a obtenu le prix du Syndicat des critiques musicaux français pour l’année 2008. Dans le cadre d’une résidence au Château de Chambord, il a rédigé un ouvrage consacré à La Musique dans les Mémoires de Saint-Simon intitulé À l’Opéra monsieur ! (Gallimard, collection L’Infini). Pédagogue accompli et internationalement reconnu, Olivier Baumont est le professeur de la classe de clavecin du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris ; il donne régulièrement des masterclasses dans le monde entier. Ainsi, depuis vingt ans, il a formé de nombreux clavecinistes dont beaucoup figurent parmi les plus doués et les plus actifs de la scène musicale actuelle.

 

Julien Chauvin

Très tôt attiré par la révolution baroque et le renouveau de l’interprétation sur instruments anciens, Julien Chauvin part se former aux Pays-Bas, au Conservatoire royal de La Haye, avec Vera Beths, fondatrice de l’Archibudelli aux côtés de Anner Bylsma.

En 2003, il est lauréat du Concours international de musique ancienne de Bruges et se produit ensuite en soliste en Géorgie, en Amérique du Sud, en Afrique du Sud tout en jouant au sein des principaux ensembles baroques européens. En 2005, il forme Le Cercle de l’Harmonie, qu’il dirige avec Jérémie Rhorer pendant dix ans.

Concrétisant son souhait de redonner vie à une formation célèbre du XVIIIe siècle, Julien Chauvin fonde en 2015 un nouvel orchestre : Le Concert de la Loge. L’ambition de cette re-création s’affiche notamment dans l’exploration de pages oubliées du répertoire lyrique et instrumental français, ainsi que de formats de concerts encourageant la spontanéité et l’imagination du public.

Parallèlement, il poursuit sa collaboration avec le Quatuor Cambini-Paris créé en 2007, avec lequel il joue et enregistre les quatuors de Jadin, David, Gouvy, Mozart, Gounod ou Haydn.

Il est également chef invité de nombreuses formations : l’orchestre Esterházy Hofkapelle, l’orchestre régional d’Avignon-Provence, l’orchestre national de Metz, l’orchestre de chambre de Paris, l’orchestre de l’opéra de Limoges, l’Orkiestra Historyczna de Katowice, le Folger Consort à Washington, Les Violons du Roy, le Kammerorchester Basel et le Gürzenich-Orchester de Cologne.

La discographie de Julien Chauvin comprend des œuvres concertantes de Haydn, Mozart, Beethoven et Berlioz pour les labels Alpha, Eloquentia et Ambroisie-Naïve. En tant que soliste, il a enregistré deux albums de concertos pour violon pour les éditions Vivaldi sur le label Naïve.

Parallèlement à ses activités de concertiste, Julien Chauvin se consacre également à la pédagogie dans le cadre de sessions d’orchestre ou de masterclasses au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris ainsi qu’à celui de Lyon, à l’École normale de musique de Paris, à l’Académie de l’opéra de Paris ou encore avec l’orchestre Français des Jeunes.

Julien Chauvin est chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres.

Julien Chauvin joue un violon Giuseppe Guadagnini de 1780 prêté dans le cadre du projet Adopt a Musician, une initiative de Music Masterpiece à Lugano.

 

Le Concert de la Loge

En janvier 2015, le violoniste Julien Chauvin fonde un nouvel ensemble sur instruments anciens avec l’ambition de faire revivre un chaînon essentiel de l’histoire musicale française : Le Concert de la Loge Olympique.

Créé en 1783 par le comte d’Ogny, cet orchestre était alors considéré comme l’un des meilleurs d’Europe et il resta célèbre pour sa commande des Symphonies parisiennes à Joseph Haydn, lesquelles furent exécutées dans la salle des Cent-Suisses du palais des Tuileries.

À l’époque, la grande majorité des musiciens étaient francs-maçons et de nombreuses sociétés de concerts étaient liées à des loges maçonniques, à l’instar de celle de l’Olympique de la Parfaite Estime.

De nos jours, formation à géométrie variable, l’ensemble propose des programmes de musiques de chambre, symphonique ou lyrique, dirigés du violon ou de la baguette, et défend un large répertoire, allant de la musique baroque jusqu’à celle du tournant du début du XXe siècle.

Le projet de cette recréation est aussi d’explorer de nouvelles formes de concerts, en renouant avec la spontanéité et les usages de la fin du XVIIIe siècle qui mêlaient différents genres et artistes lors d’une même soirée, ou en concevant des passerelles avec d’autres disciplines artistiques.

Depuis sa refondation, l’ensemble s’est produit en tournée sur de nombreuses scènes lyriques interprétant notamment Armida de Haydn dans une mise en scène de Mariame Clément, Le Cid de Sacchini dans une mise en scène de Sandrine Anglade, Phèdre de Lemoyne et Cendrillon d’Isouard dans des productions au Palazzetto Bru Zane dans une mise en scène de Marc Paquien, ou encore Die Entführung aus dem Serail de Mozart dans une mise en scène de Christophe Rulhes. L’orchestre travaille également régulièrement avec des solistes de renom tels que Karina Gauvin, Sandrine Piau, Philippe Jaroussky, Marina Viotti, Andreas Staier et Justin Taylor, Marie-Nicole Lemieux...

L’ensemble a enregistré six volumes de l’intégrale des Symphonies parisiennes de Haydn (label Aparté), ainsi que des œuvres de la même période interprétées au Concert de la Loge Olympique. Il redécouvre également d’autres répertoires : les mélodies françaises orchestrées et les concerti pour violon pour 2 albums avec le label Naïve. En 2021, le Concert de la Loge entamera une nouvelle collaboration avec le label Alpha, autour des trois dernières symphonies de Mozart.Tous ces enregistrements ont été salués par la critique : Diapason d’or, BBC Choice, Gramophone award, Diamant d’Opéra Magazine, Choc Classica, Le Monde, ffff Télérama, Grand Prix Charles Cros....

En juin 2016, le Comité national olympique français s’est opposé à l’utilisation de l’adjectif «olympique» par l’ensemble, qui a été contraint de changer son nom historique en «Le Concert de la Loge».

L’ensemble est soutenu par le ministère de la Culture, la ville de Paris, la région Île-de-France, la fondation Société Générale C’est vous l’avenir (mécène principal), Abéo, le fonds de dotation Françoise Kahn-Hamm et les mécènes membres du Club Olympe. Il est en résidence au Conservatoire Jean-Baptiste Lully de Puteaux et au Lycée Jacques Decour de Paris, artiste associé en résidence à la fondation Singer-Polignac, ensemble associé à l’Auditorium du Louvre. Il est également ensemble en résidence au festival de Saint-Denis, soutenu par la DRAC Île-de-France pour deux ans. En 2021, l’ensemble entame une résidence croisée de quatre ans avec l’Association pour le développement des activités musicales dans l’Aisne (ADAMA) et le Centre de musique baroque de Versailles.