Singuliers vents d'hiver
Comme Beethoven et Reicha, Louise Farrenc participe à l’avènement de la musique pour vents, découlant des progrès spectaculaires de leur facture instrumentale au XIXème siècle, dont les musiciens militaires sont les premiers bénéficiaires.
Programme
- Reicha, Quintette à vent opus 88, no 2 en mi bémol, Extr. 1er Mouvement
- Beethoven, Quintette pour piano et vents en mi b majeur, opus 16
- Farrenc, Sextuor pour piano et vents, en do mineur, opus 40
Distribution
- Ensemble Singuliers
- Alexina Cheval, flûte
- Rebecka Neumann, hautbois
- Victor Guémy, clarinette
- Jean Wagner, cor
- Anne Muller, basson
- Avec la participation de Ninon Hannecart – Ségal, piano (pour la pièce de Louise Farrenc)
Encouragé lors de son arrivée en France par l’Empereur lui-même, rencontré à Vienne en 1811, Reicha ne compose pas moins de 36 pièces pour quintette à vent et confère ses lettres de noblesse à cette formation.
Si Beethoven ne rencontra jamais Napoléon, son Octuor pour vents composé en 1792 est empreint d’un véritable souffle épique.
Comme son maître Reicha, Louise Farrenc participe à l’avènement de la musique pour vents, découlant des progrès spectaculaires de leur facture instrumentale au xıxe siècle, dont les musiciens militaires sont les premiers bénéficiaires.
Coproduction Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris – musée de l’Armée
Avec le soutien de la Fondation d'entreprise Safran pour la musique