Louis XIV, chef de guerre
A travers des allégories du pouvoir royal et de la guerre, ce somptueux programme, incluant aux côtés de Purcell des pages musicales moins connues mais parmi les plus sublimes de l’époque, s’achève par le très méditatif "O Mediatrix" de Verrijt et le douloureux et bouleversant "Quid sunt plagae istae" de Buxtehude
Programme
- Geist, Quis hostis in coelis
- Cats, T’Samen- spraeck geestelijcken buyden
- Verrijt, Fili, ego Salomon
- Petersen, Speelstucken, Sonate no 4
- Düben, Surrexit pastor bonus
- Purcell, Sound the trumpet – Sinfonia from the Judgement of Pâris – When monarchs unite, fear no danger to ensue, Extr. de Didon et Enée
- Albrici, Fader Wär som est i himmelom
- Cats, Gesang voor een krijgsman op schiltwagt staende
- Verrijt, O Mediatrix Domina
- Buxtehude, Quid sunt plagae istae, Extr. des Membra Jesu Nostri
Distribution
- Orkester Nord
- Ensemble vocal Vox Nidrosiensis
- Martin Wåhlberg, direction
- Solistes : Claire Lefilliâtre et Margreet Rietveld, sopranos
- Frøyis Kopperud, alto
- Jan van Elsacker, ténor
- Håvard Stensvold, basse
La Triple Alliance des Provinces-Unies, de l’Angleterre et de la Suède se constitue pour faire face aux ambitions de la France de Louis XIV.
Ce programme retrace les enjeux diplomatiques de la guerre de Hollande, la narration musicale allant de l’affirmation de la puissance de la Triple Alliance jusqu’à son déclin, à travers des allégories du pouvoir royal et de la guerre, faisant référence à l’Écriture sainte ou à la mythologie gréco-romaine. Suivant l’évolution décroissante de l’alliance, ce somptueux programme, incluant aux côtés de Purcell des pages musicales moins connues mais parmi les plus sublimes de l’époque, s’achève par le très méditatif O Mediatrix de Verrijt et le douloureux et bouleversant Quid sunt plagae istae de Buxtehude.