Le violon de Svetlin Roussev
L’étroite connivence de sensibilité entre Svetlin Roussev et François Boulanger suscite et nous procure une lecture enflammée jusqu’à l’incandescence du Chant de Vladiguerov et du 1er concerto de Prokofiev. Plus que grisante, l’interprétation de Svetlin Roussev y est véritablement enivrante, sous-tendue par le panache et l’élégance d’un archet expressif et altier
Programme
- Dvorak, Deux danses slaves opus 46
- Vladiguerov, Chant pour violon et orchestre
- Kodaly, Danses de Galanta, pour orchestre
- Prokofiev, Concerto no 1 en ré majeur opus 19, pour violon et orchestre
Distribution
- Orchestre symphonique de la Garde républicain
- François Boulanger, direction
- Soliste : Svetlin Roussev, violon
Inspiré du folklore bulgare, le Chant de Vladiguerov, exaltant le lyrisme et la profondeur de la sonorité somptueuse du violon de Svetlin Roussev, ouvre ce programme.
Créées en 1933, Ces danses au rythme alternativement joyeux et nostalgique de Verbunkos (musiques d’ enrôlement militaire) font référence au répertoire de l’orchestre tzigane du village de Galanta où Kodaly passa son enfance.
L’étroite connivence de sensibilité entre Svetlin Roussev et François Boulanger leur inspire une lecture enflammée jusqu’à l’incandescence du 1er concerto de Prokofiev. Plus que grisante, l’interprétation de Svetlin Roussev y est véritablement enivrante, sous-tendue par le panache et l’élégance d’un archet expressif et altier.
À l’occasion de la Fête nationale bulgare